(HALL#01) TC / GROUPE 01.

La vie pouvait être tout à fait normale puis basculer dans l’épouvante et dans le danger en quelques secondes. L’horreur pouvait frapper d’un coup, de façon aussi tranchante et nette qu’un coup de hache. La journée pouvait commencer normalement puis devenir complétement sujette à la panique, au hurlement, à l’effroi et au nauséabond le tout entouré de noirceurs et de ténèbres.

La journée avait commencé de façon banale, un lieu de vie qui avait été décoré, une activité d’halloween qui avait été réalisés en réalisant des citrouilles angoissantes à l’aide d’une mandoline puis d’un couteau tranchant. Une vie normale, pour ne pas dire banale.

Regarder un film d’horreur à la fin de toutes ces activités et entendre un bruit effrayant dans le jardin. Entendre le cri de l’être aimé puis voir une vision d’épouvante. Une créature venue du cimetière voisin, sortie de son cercueil, un squelette ou un zombie.

Une décision prise rapidement devant l’horreur, celle de fuir. Une attitude scabreuse pour celui qui plastronnait que rien ne lui faisait peur. Voir l’amour de sa vie se faire manger le cerveau avait peut-être changé la donne, lui avait donné des sueurs froides. Un monde rempli de ténèbres où les vampires, zombies, squelettes et autre vision d’horreur convergeait tous vers lui.

Être mangé par un macchabée ne faisait pas partie de ses plans de vie, une peur panique au fond des tripes le poussant à une fuite en avant sous les gémissements de ses voisins. Un brouillard de larmes retenu par fierté, un esprit en vrac.

La peur au ventre et la chair de poule pour seul moteur pour survivre. Survivre jusqu’à un pont où il fit peur à une autre personne. Quelqu’un comme lui, qui n’était ni un vampire, ni un esprit effrayant. Sous les yeux de cette personne, il commença à chercher autour de lui. Vivre ou mourir, il faut choisir. Aidez-moi à trouver une arme pour lutter. On est mort ou vif, dépêchez-vous. L’horreur est humaine, mais se faire bouffer le cerveau non.

Un être humain qui avait l’air horrifié. Ce qui pouvait se comprendre vu que deux espèces de zombie s’approchaient. Putain il ne savait même pas comment un zombie un vampire ou il ne savait pas quoi d’autres pouvaient le repérer. Et comment on tuait ses horreurs ? Une forte envie de pleurer ou de vomir le prix, heureusement il réussit à se retenir. Mort par fierté, voilà ce qu’il allait y avoir en épitaphe de sa tombe au cimetière.

Pour le moment, ses élucubrations devaient cesser, l’autre personne pouvait peut-être lui dire comment on tuait un zombie, un vampire ou autres créatures des ténèbres. Rassure-moi, tu as bien suivi les cours de comment bien tuer un être démoniaque à l’école ? Non parce que ce serait utile si tu vois ce que je veux dire.

Pointant les créatures du doigt, qui heureusement ne les avaient pas vus. Même les bruits qu’ils faisaient étaient terrifiants, il avait la chair de poule et une forte envie de vomir ou de se pisser dessus, il n’était certain de rien à ce stade-là.

//Voilà !Pour la personne survivante qui arrivera, Al parle à votre perso du coup. @Hae-Jong Cheong et @Chelzko Wilkerson vous êtes aussi mentionné.

Halloween.
Citrouilles posées dans les jardins. Certaines sont découpées avec un couteau, faisant un dessin ressemblant à des personnages connus de la pop culture. Ou de films d'horreurs. Décorations oranges et noires dans toute la ville. Des enfants sonnant aux portes des maisons et appartements pour demander des bonbons. Innocents. Tu vois quelques adultes habillés de déguisements plus réalistes que les enfants. En zombis. Tu les trouve vraiment très ressemblants aux morts vivants que l'on peut trouver dans Walking dead. Tu ne vois pas de sac avec des bonbons. Peut-être souhaitent-ils simplement se balader dans la ville déguisés. Retrouver des potes dans un bar plus tard dans la soirée. Un s'approche de toi. Tu te demande bien ce qu'il te veut. Tu tends ton bras vers lui.

- Salut mec. T'es perdu ? Tu cherches un endroit où aller ?

Il ne te répond pas. Tu entends des espèces de râles. Il était peut-être malade. Tu lui touches l'épaule. Une odeur infecte commence à se rependre. Peut-être ne s'était-il pas lavé depuis quelques temps. Tu n'eu pas le temps de réagir que l'homme plonge ses dents dans ton avant bras. Tu ne l'avais pas du tout vu venir. Merde c'était quoi son problème à lui ! Il avait pas bouffé pendant plusieurs jours et il attaquait la première personne qu'il croisait ?

- C'est quoi ton problème à toi !

Tu le pousses violemment. Tu remarques qu'un bout de ta chaire manque. Merde merde ! Tu commences à pisser le sang. C'était pas normal ça ! Tu poses le plat de ta main contre ta blessure. Des regards se tournent vers toi. Ils pensent peut être que c'est fait exprès. Peut-être ouais. Tu veux pas alerter les gens. Il faut que tu te barre d'ici. Y'a des gens pas très nets dans la rue. Des images de morts vivants te viennent à l'esprit. Tu secoues la tête. Non sa n'existait pas. Ils n'existaient que dans les livres et le cinéma. C'était juste un mec qui avait pété un câble. Juste un pauvre mec pas bien dans sa tête. Tu commenças par marcher, rentrant chez toi.

Tu avais mit un bandage sur ta blessure et mit de l'alcool. Sa t'avais fait un mal de chien mais tu ne voulais pas couper ton avant bras. Tu avais entendu des bruits à l'étage supérieur. Que tu n'avais encore jamais entendu. En regardant à l'extérieur tu avais vu d'autres personnes se faire mordre par d'autres de ces créatures. Pour l'instant tu resteras chez toi. Tu avais mit une commode pour bloquer la porte d'entrée. Pour ne pas qu'on rentre chez toi. Un de ces morts vivants ou un survivant. Tu étais en sécurité pour le moment.

Le lendemain, tu n'entendis plus rien. Aucun bruit dans les rues. Rien que du silence. Il faudrait que tu sortes. Tu commençais à avoir faim et tu n'avais plus rien à manger. Rien que de la bière. Tu te levai péniblement et bougea la commode devant la porte. Tu ouvris la porte et vis des cadavres dans le couleur. Merde. Sa puait la décomposition. Tu les enjambas et descendis les escaliers. Il y en avaient d'autre dans les escaliers. Soudain, tu sentis une main d'agripper la cheville. Merde. Tu manquas de tomber au sol. Tu donnas un coup de pied. Le mort vivant lâcha ta cheville. Tu courus en direction de la sortie.

Tu avais fais quelques magasins. Ils étaient tous fermés. Ou alors des morts vivants y avaient prit domicile. Merde. Tu avais cherché pendant toute la journée, chaque magasins étaient remplis de ces créatures. Bon bah il faudrait bien que tu rentres chez toi. Alors que tu te dirigeai vers ton appartement, tu entendis de nombreux râles à l'intérieur. Tu ouvris la porte et eut le temps de reculer pour voir de nombreux morts vivants se marcher dessus. Merde. L'appartement était infesté de ces monstres. Sa devait être le cas des autres appartements alentours. Peut-être existaient-ils des survivants comme toi. Survivants ? Peut-être pas pour longtemps avec ta blessure. Tu jetas un coup d'oeil en dessous des bandages. Elle commençait à pourrir. Merde. Faudra peut être que tu coupes ton avant bras un jour.

Tu fuis. En direction d'un endroit où tu pourrais te cacher. Un pont. Des débris. Peut-être là bas. Tu t'assis au sol et attendit...

Tu t'étais endormi lorsque tu entendis des bruits de bas. Tu sursautas alors. Un homme s'approcha de toi. Il ne ressemblait pas un mort vivant. Il me demandait de chercher un arme. Je n'en avais pas trouvé sur le chemin en venant ici. Je regardai derrière lui. Merde. Des monstres approchaient. J’acquiesçai pour lui dire que j'allais cherche quelque chose. Je trouvai des briques et une barre de fer.

- J'ai trouvé ça. C'est pas grand chose désolé, sa vaut pas une balle de pistolet.

L'homme me demandait si je savais comment tuer ces créatures et si j'avais pris des cours à l'école. Il se foutait de ma gueule ?

- J'ai jamais pris de cours à l'école, c'est la première fois qu'il se passe un truc pareil. Mais j'ai lu suffisamment de trucs sur le sujet. Faut viser la tête. Je te laisse les briques ou la barre de fer ?

@Chelzko Wilkerson à toi

Se retrouver parmi des zombies et autres monstres n’était pas ce à quoi il s’attendait de cette journée. Normalement il devait passer un bon moment avec son fiancé et ne pas entendre les hurlements de son fiancé. Ce dernier devait certainement être un zombie, il regrettait de ne pas avoir pris de hache, voire même une mandoline. Il aurait dû prendre n’importe quoi pour faire cesser ces cris d’épouvante.

L’image gore de son fiancé en train de se faire manger était macabre. L’attaque lui avait causé une belle frayeur et il avait encore la chair de poule et la peur au ventre. Se retrouvant sous un pont, il n’aperçut au début personne, puis deux personnes et enfin deux autres zombies qui poussaient des gémissements. Le lieu était hanté, pas de fantôme ou de vampire, mais de créatures macabres qu’on pouvait décrire comme des zombies.

Ne s’y connaissant pas en zombie, il demanda au jeune homme avec lui s’il s’y connaissait en zombie. Pour la plus grande surprise de ce dernier, pourtant sa question était normale. Lors d’une attaque de zombie ou squelette, on faisait en sorte de se renseigner sur la façon de tuer ces esprits des ténèbres hurlant et gémissant de façon angoissante.


Le pire, c’était que le brouillard commençait à se lever, heureusement il ne se trouvait pas dans un cimetière devant des cryptes. Quoique ce serait peut-être l’endroit le moins effrayant actuellement. Son partenaire lui proposa des briques ou une barre de fer. Les deux. Les zombies convergents vers nous, j’ai le sang qui se glace en voyant ces trucs. Tu ne regardes pas les séries à la mode ? Les esprits, squelettes et zombies faisaient l’objet de pas mal de série.

Donc ses questions n’étaient peut-être pas complètement connes. Il ne pouvait pas plastronner en disant qu’il connaissait le moyen de tuer un zombie. Apparemment il fallait viser le cerveau, l’odeur du sang était nauséabonde et Alejandro voulait vraiment vomir.

Regardant autour de lui, il essaya de repérer les macchabées sans grand succès, mais une jeune femme venait vers eux. Son hémoglobine gela dans ses veines en l’apercevant, une peur panique qu’il ne comprit pas vraiment. Elle n’était pas le diable, elle n’allait pas le tuer et le mettre au cimetière. Enfin il ne voulait pas que sa mort arrive maintenant, mais elle n’avait pas l’air normal en espérant se tromper.
C’était nauséabond, effrayant et lui donnait envie de hurler.

La jeune femme leur demanda ce qui se passait, elle ne voyait pas les macchabées ressemblant à des squelettes zombies dans la rue ? Alejandro prit la parole en la regardant étrangement. On va mourir, je n’ai pas de hache. Tu ne vois pas les macchabées, les squelettes zombies ? Pourtant c’est visible comme des hippopotames qui convergent vers nous. La regardant étrangement, il leva sa barre de fer sachant que faire le mort n’allait pas servir à grand-chose. Vous ne vous sentez pas bizarre ? Les créatures me donnent la chair à poule, bougez-vous qu’on organise notre défense.

@HAE-JONG CHEONG & @CHELZKO WILKERSON