alejandro speitzer. waldosia. kaan. 3552 910 29 libre comme l'air, à la recherche d'une nouvelle âme à sauver. gérant de ta propre boîte d’événementiel. et boxeur en salle à tes heures perdues. au creux du traditionnel. inés - larissa - shaye - you ? - you ?
Sujet: Re: / LES PERLES DES RPS. Mer 19 Jan - 10:38
merci à toi @amos hulst, ça fait très plaisir d'être citée
y. rose soletear 1185 2765 28 paradis d'anthologie souillé par satan. vengeresse viscérale promise à celui qui l'a rendue monstre. fantôme ambulant qu'on déifie. se dévêt sous les néons et fait ouvrir les cuisses d'une autre à sa place. traditionnel
Sujet: Re: / LES PERLES DES RPS. Lun 24 Jan - 10:53
bien trop longtemps que je n'ai pas partagé ici les petits mots que vous nous offrez, et qui m'ont fait boum au coeur. ce forum regorge de plumes plus belles les unes que les autres, impossible de tout citer...
sage abrath a écrit:
la voyait-il seulement aussi bien qu'il voyait les astres ? m o r t s à l'état de poussière derrière un éclat déjà éteint, à des années-lumière. trop loin de ceux qui n'avaient plus besoin de rien parce qu'ils étaient déjà tout ; elle avait tout, mais n'était pourtant plus rien - n'avait peut-être jamais été que ça.
sage abrath a écrit:
elle hausse le menton, lui adresse un regard interrogateur dans l'attente d'une présentation, même la plus informelle. quelque chose comme « je suis celui qui ne possède rien mais qui, dans l'ombre d'un monde cupide, sclérosé par un orgueil féroce et une insatiable présomption, pourrait un jour devenir celui qui aurait tout. »
-- enchantée monsieur, j'aimerais être comme vous.
parce que j'attendais cette réponse depuis des semaines. elle est divine, à la hauteur de votre rp. @malik al tahir, sache que j'attends ta réponse avec im pa tience.
niel hughes a écrit:
Dans ces instants, ceux où leurs lèvres s’aimantent et leurs dents claquent les unes contre les autres sous la passion de leurs baisers fiévreux, où e l l e murmure des je t’aime entre chacun d’eux, ses doigts plongés dans ses cheveux comme si son être entier lui appartenait et qu’e l l e refusait de le laisser ne serait-ce que penser s’en aller, Nathaniel ne peut s’empêcher de la détester dans son entièreté. Il se retrouve constamment au bord du précipice, entre un amour dévorant et une haine dévastatrice, perdu au beau milieu d’eaux dans lesquelles on ne lui a jamais appris à nager.
j'aurais pu tout citer. t'as rien perdu de ta plume, elle est toujours aussi prenante, juste et admirable. tu sais comme j'aime te lire !
nijhee wang a écrit:
« J’veux qu’ils aillent tous se faire foutre. Voilà pourquoi je danse. »
( Ses démons. )
Qu’ils finissent par être réduits en cendres. Monticule corrosif qui n’a de cesse d’en renaître.
amos hulst a écrit:
la scène semblerait surréelle, les prunelles n'y croient même plus tant elles se sont habituées à l'artifice de la scène, aux grandes lumières qui transforment les ombres, alors le reste du décor n'est plus qu'un amas flou de clarté aux nuances froides, de formes, des tas de béton qui font déjà bien tâche face à la grâce qu'elle aperçoit amos, face à la frénésie dont ils font preuve, tout ça n'a plus rien de robotique, il n'y a qu'exaltation dans leurs myocardes, l'aura d'une énergie survoltée qui se joue face à l'écume bien déchaînée, à croire qu'elle s'était accordée avec eux pour défaire leurs tristes regards sur le monde, pour envoyer valser au rythme de leurs mouvements une sorte de zemblanité qui s'était installé dans le creux de leurs paupières, voile fin et clairsemé qui n'apportait que misère aux deux parties.
votre sujet est d'une poésie sans nom. vos mots fabriquent du rêve. continuez svp c'est teellement doux !
nejma saleh a écrit:
des cris retentissent au loin, bourdonnement diffus qui gagne en puissance à chaque pas. la curiosité prend le pas sur la raison : l'amas de violence qui se devine à un ou deux coins de rue t'attire inexorablement. lorsque tu bifurques, le brouhaha grandissant pour seul guide, t'aperçois au loin un attroupement. l'excitation qui s'en émane est magnétique - de sorte que t'es obligée d'avancer. de voir de tes propres yeux ce qui prend forme au centre du cercle humain. te faufilant sans grand effort, tu vois deux molosses de bipèdes qui se jettent l'un sur l'autre. c'en puerait presque le sang et la sueur, c'est galvanisant. pas étonnant que ce genre de spectacle ait acheté la paix des romains.
je découvre tout juste tes écrits. et c'est captivant. on te lit aussi vite que ce qu'on devient accroc à tes mots. @"enzo hadad", prière de lui répondre au + vite stp mimi (déjà parce que je veux la suite, mais aussi parce que je sais que le mélange de vos plumes, ça va être pépite )
euphémia hughes a écrit:
Et si toute la journée, Phee sentait le chagrin titiller ses côtes, c’est encore et toujours le même silence qu’elle s’est imposée. Celui d’une marionnette entre les doigts de ses maîtres, incapable d’actes de rebellions, lorsque sa belle-mère lui imposa le lieu de la réception grandiose, la veuve ne fit qu’acquiescer. Comme elle l’avait, toujours fait. Et puis, quelque part, cela chassait l’écrin de culpabilité qui l’enrobait.
on ne chasse pas l’écho des cris et encore moins celui du silence
ares madds a écrit:
A reculons tu dépasse les couloirs qui te mène à ce qui était alors, un semblant de forteresse. Celle ou tu n’étais que toi, personne d’autre. La main posée sur la poignée tu t’arrête, pas certain d’être prêt à t’y plonger. Mais t’a pas le choix. Rien n’a bougé. Tu t’attendais à ce que ton père ai tout ravagé, dans cette haine qu’il a construit à ton égard, pour ne pas être celui qui est mort. Pour être celui qui est resté. Mais personne ne peux te haïr plus que toi même.
euphémia hughes a écrit:
Elle entend des regards
Qu’il croit muet.
Les passions d’enfants ont toujours quelque chose d’innocent, d’une limpidité effarante, dans le : je t’aime, d’un bambin se cache toujours un : aimes moi.
ares madds a écrit:
C’est comme hier. Comme une boucle temporelle, qui ne s’arrête jamais. A r e s. Sa voix, sa voix, sans cesse. Il te souffle que c’est pas ce qu’il veux tout ça. C’est pas ce qu’il veux les galas, les gens qu’il ne connaissait pas. Que tout ça, ne lui ressemble pas. Et au fond, tu le sais. Vous n’étiez pas si différents parfois, sauf que toi ta liberté tu t’y est toujours accroché quand lui l’a sacrifiée. Tout comme sa vie.
euphémia hughes a écrit:
et de deux, il furent trois.
L’aura de James trainait-là, péniblement, dans cette chambre recouverte de souvenirs qui s’étaient dissipés avec le temps. Ceux que Phee avait appris à anesthésier pour parvenir à avancer, ceux qu’elle repoussait au plus profond de son inconscient. C’est sans doute pour cela, qu’elle n’y mettait plus les pieds, dans cette demeure où la douleur suintait sur chaque mur constituant la bâtisse. La lâcheté de la veuve était trop prégnante depuis qu’elle avait compris que ses souvenirs d’enfants n’étaient plus si innocents. Que derrière chaque regard qu’elle déposait sur le cadet, l’amour s’y glissait abruptement.
ok j'vais pas tout citer??? j'me calme là. mais, damn, vous êtes incroyables. votre inspiration crève l'écran, vos écrits capturent. c'est bourré de feels bordel, merci de partager ça avec nous
ismaël sartier a écrit:
plus il la regarde et plus il sent la colère palpiter, là, au centre même de cette cicatrice qu’elle lui a laissé, plus il la regarde, plus il la voit, eden qui s’était éclipsée l’espace d’un instant, des mois douloureux passés en un éclair maintenant qu’il se tient à un souffle d’elle. et plus il s’y plonge, dans les abysses de son regard, plus la colère se dissipe jusqu’au reste de ses organes. de ses reins à son estomac, de son estomac à son cerveau, de son cerveau à son coeur. le dernier se gorge de haine, mais il sourit, le loup. montre les crocs quand de caresses elle l’ensorcelle.
vsy tu liras jamais ça mais JTM DE TOUT MON COEUR EN FAIT c'tout bisou partout mon inspiration numero uno !!!!!!!!!!!
blake grayhall a écrit:
rien ne vient perturber l'apathie du pantin. celui devant lequel les mots flottent, se rient de lui peut-être et s'effondrent sous le poids du rideau de pluie qui se déverse sans fin. témoin de son capharnaüm interne, blake observe l'inconnue hurler sans bruit. captive de ses démons aux mille apparences. des mentismes sous forme d'hydre qui la dévorent de l'intérieur sans qu'il ne soit capable de l'aider. pas même un patronyme à mettre sur la silhouette esseulée. fille des nuits sombres et orageuses qui ne sourcille même pas lorsque la tempête houspille contre les misérables qui s'efforcent de la braver.
des mois que je rêve d'écrire avec toi. j'ai rien à dire, si ce n'est que t'es le genre de délice qu'on aimerait manger tous les jours.
Sujet: Re: / LES PERLES DES RPS. Jeu 27 Jan - 15:20
@Nikita Aleïev j'étais pas ready pour ces quotes dans les perles, ça me fait toujours bizarre et en même temps je suis grave touché venant de toi et de ta plume juste wow alors, merci chaton promis, ce weekend je passe ici vous faire partager mes lectures coup de coeur en attendant juste :
Ares Madds a écrit:
Qu’est-ce que tu dis Phee ? C’est que tu voudrais lui demander. Lui demander pourquoi s’aventurer sur des mots qui veulent dire tant de choses. Pourquoi … Pourquoi ? Et toi de mots tu est privé, comme si aucun n’arrivait alors à se former. Parce que rien n’a plus de sens, parce que ton être est incapable de s’arrêter. Sa voix qui répète sans cesse, ce qu’elle vient de dire. Comme pour le matérialiser. Comme pour croire que cela vient vraiment de se passer. Inspire avec difficulté, expire avec une douleur que tu ne reconnais pas. Tes orbes alors la cherche, voient. Ce que cet aveux vient de créer en elle, la culpabilité comme aura. Sais-tu seulement, à quel point j’étais soulagé de te voir à nouveau ? Que ce ne soit pas moi. Mais les mots se bloquent, incapables de venir la libérer. Tu ne sais pas pourquoi. Ton front qui rencontre le sien, et vos prunelles jamais aussi proches.
Euphemia, ne dit pas ça
Euphemia, ne me libère pas
Libère moi, libère moi
@ares madds au-delà que as usual, je pourrais citer toute ta réponse, je ne me suis toujours pas remise de ce passage qui m'a vraiment éclaté le kokoro je le redis, ares sous tes doigts c'est de l'art.
lily-rose depp av/depraysie - sign/awona (code & img) cillian 380 2320 27 célibataire, en proie à une langueur qu'elle embarquera dans la tombe. elle vit d'aventures d'un soir, d'autant plus débridées qu'elle leur écarte si peu souvent les cuisses. danseuse au new york city ballet, prête à écraser les autres jusqu'à décrocher l'étoile. à moins que ce ne soient ses propres secrets qui ne causent sa chute, alors que la nuit, c'est sur les scènes de strip-clubs qu'elle délie ses courbes. contemporain le jour, effervescent la nuit, pour une double vie. amos •• leandro •• cez •• nikita •• thelma
Sujet: Re: / LES PERLES DES RPS. Jeu 10 Fév - 11:28
@Nikita Aleïev je viens tout juste de voir ça et je ne m'y attendais pas du tout, merci infiniment beauté
(and if you want to use me i could be your puppet)
nikita - freddie - kurtis - zym - you?
Sujet: Re: / LES PERLES DES RPS. Mar 5 Juil - 12:51
Nikita Aleïev a écrit:
des trottoirs au pouvoir, scylla. viens, que je t'emmène flâner sous les étoiles qui ne dorment pas. partons briller, astrales, sur le nombril du monde, à la source de l'univers qui devient notre père. allons lui montrer, comme ses créatures vivent. comme elles aiment peu importe la couleur du ciel. faisons-nous filles noctiluques sur les terres qui portent l'ombre, mais courons toujours à l'étincelle. dans cette vie, il demeurerait à eden une infime sensibilité, une esquille d'hédonisme. mais l'infâme a tout balayé de ses poussières ingénues. la liberté ne saurait même l'affranchir. alors elle s'abdique. et condamne scylla à s'entomber avec elle.
je crois que j’ai perdu mon coeur quelque part entre la magnifique réponse de @Nikita Aleïev et ce topic. ce passage m’a arraché un sacré frisson merci
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she got Death Note, dead souls, split dye, chain cold. Think I fell in love when she said
laurel. ethereal. 3468 1521 28 elle offre son corps sans réserve, elle s'amourache et se détache à la vitesse de l'éclair. perpétuellement en quête de cette drogue naturelle. elle donne le change en tant qu'étudiante en fac de psycho'. mais la vérité, c'est que ça fait trois mois qu'elle n'y a pas mis les pieds.
Sujet: Re: / LES PERLES DES RPS. Mar 12 Juil - 21:53
bon alors oui, ça vaut le coup d'être relevé évidemment d'ailleurs, elle est tellement pipou @scylla velcoro dans ce sujet, bien trop tendre pour supporter une furie comme eden
et comment ne pas mentionner mon duo préféré @nikita aleïev/@ismaël sartier, le retour des amants diaboliques et moi j'admire toujours aussi passionnément
nikita aleïev a écrit:
et il gonfle, ismaël, les vaisseaux prêts à cracher du sang. il se fait taureau qui voit rouge, quand elle danse pour attiser sa colère. le magasin devenu arène, eden voudrait qu'ils y jouent leur plus beau spectacle tauromachique. elle en ressortirait avec une alliance dorée, et son trophée de matador. mais il en est autrement. l'animal n'est pas encore prêt à crever. il se bat, jusqu'à sortir son portefeuille et payer, se bat jusqu'à serrer ses doigts lorsqu'elle lui prend la main.
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staying in my play pretend, where the fun ain't got no end. can't go home alone again, need someone to numb the pain. you're gone and i've gotta stay high all the time to keep you off my mind.
lily-rose depp av/depraysie - sign/awona (code & img) cillian 380 2320 27 célibataire, en proie à une langueur qu'elle embarquera dans la tombe. elle vit d'aventures d'un soir, d'autant plus débridées qu'elle leur écarte si peu souvent les cuisses. danseuse au new york city ballet, prête à écraser les autres jusqu'à décrocher l'étoile. à moins que ce ne soient ses propres secrets qui ne causent sa chute, alors que la nuit, c'est sur les scènes de strip-clubs qu'elle délie ses courbes. contemporain le jour, effervescent la nuit, pour une double vie. amos •• leandro •• cez •• nikita •• thelma
Sujet: Re: / LES PERLES DES RPS. Sam 3 Sep - 22:59
Jolene Weisz a écrit:
éternelle gamine qui oscille entre les extrêmes, qui détruit sa vivacité pour mieux s'offrir à la faucheuse. et entre les amas de corps mouvants qu'elle écarte du bout des doigts, elle fait office de proie, les regards ne sont plus qu'observateurs, ils décortiquent chacun de ses gestes pour tenter de lui offrir le coup de grâce. et lorsqu'ils balancent des paroles noires pour tenter de lui voler son cœur déjà bien atrophié, la môme ne répond pas, se contente d'offrir un sourire insolent, un sourire fabriqué de toutes pièces si tant est que les lippes puissent s'écarter pour leur donner le baiser de la mort.
je te l'ai dit quand tu l'as postée, ta réponse est magnifique, et en la relisant pour te répondre ce passage m'a transpercé le cœur. merci de me faire rêver & de permettre à nejma de continuer à exister grâce à tes mots.
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— diamonds
cut like diamonds and sink like stones, starve myself till i'm skin and bones